Il n'est pas bon pour l'homme d'être seul ! le pasteur Marcello Tunasi à nouveau marié.
- Claire Weston

- 22 juil.
- 2 min de lecture

« Il n’est pas bon que l’homme soit seul » (Genèse 2:18). C’est par cette parole fondatrice que Dieu lui-même a ouvert le chapitre du mariage dans l’histoire de l’humanité. Et c’est sous cette même lumière que le pasteur Marcello Tunasi, leader spirituel respecté du continent africain, a choisi d’entrer dans une nouvelle saison de sa vie.
Ce 23 juillet 2025, à Bruxelles, il a uni sa vie à celle de Esther Aïcha, sœur engagée dans l’église La Compassion, dans un esprit de paix, de renouveau et de fidélité à la volonté divine. Ce mariage, à la fois discret et empreint de sens, marque une étape aussi personnelle que prophétique.

Depuis le départ pour la gloire de son épouse Blanche Kandolo, en juin 2024, beaucoup ont accompagné en prière un homme brisé, mais debout. En un an, le deuil, la solitude, le poids du ministère et la responsabilité d’un peuple ont été portés avec dignité.
Alors oui, certains se demandent peut-être : « Pourquoi si tôt ? » Mais peut-on vraiment définir le rythme du deuil, le calendrier de la guérison, ou les délais de l’espérance retrouvée ? À cela, le pasteur répond sans détour :« Je n’ai pas reçu le don du célibat. »

Et qui pourrait lui reprocher de vouloir être heureux ? De désirer une compagne de route pour partager les joies, les larmes, les veilles, les combats du service de Dieu ? Car au-delà du symbole, il y a ici un choix humble, courageux : celui de ne pas tomber dans les pièges de l’isolement, ni dans ceux de l’impudicité. Il a choisi la sainteté, la transparence, la stabilité, et surtout… l’amour.
Un témoignage vivant
Ce mariage est plus qu’un fait divers : c’est un témoignage vivant. Il rappelle à chacun que Dieu donne le droit d’aimer à nouveau, même après une grande perte. Il rappelle que le ministère n’annule pas les besoins de l’âme, et que les serviteurs de Dieu sont d’abord des hommes, avec des cœurs qui battent, qui pleurent, qui espèrent.
Il est possible de repartir. Il est possible de sourire de nouveau. Il est possible d’aimer encore, sans trahir le passé.
Que celui qui aime la lumière, bénisse l’aube d’une nouvelle alliance
Le mariage du pasteur Marcello Tunasi avec Esther Aïcha est un signe : Dieu restaure. Il ne se contente pas de panser les plaies, il réécrit les histoires, parfois plus tôt que prévu, mais toujours avec soin. Et c’est aussi cela, briller dans les ténèbres : avoir le courage de recommencer, avec foi, avec paix, et avec honneur.
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